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FOCUS sur Catherine DUMAS

Catherine DUMAS était, ce week-end, l’invitée du premier numéro de la nouvelle émission FOCUS, diffusée sur la chaine parlementaire PUBLIC SENAT.

Un coup de projecteur sur l’action et l’initiative de la Sénatrice et Conseillère de Paris, dans son département ou au Palais du Luxembourg.

Un format court qui permet de découvrir les engagements de Catherine DUMAS, au Parlement, pour promouvoir les talents et les atouts de la France, notamment à travers les métiers d’art et la gastronomie.

Nous vous invitons à retrouver cette émission sur internet, en cliquant sur le lien suivant :

 http://www.publicsenat.fr/vod/focus/catherine-dumas-senatrice-ump-de-paris/catherine-dumas/68709

Participez aux Journées Nationales des Métiers d'art

Du 1^er au 3 avril 2011, partout en France,

poussez la porte des Ateliers Métiers d’art !

A l’occasion des Journées 2011 des Métiers d’art, qui se tiendront du 1^er au 3 avril, les Français sont invités à pousser la porte des ateliers situés à proximité de chez eux. Céramistes, marqueteurs, doreurs, luthiers, souffleurs de verre, dentelliers, restaurateurs de tableaux... Tous sont prêts à partager leurs secrets !

Secrétaire nationale de l’UMP, en charge des métiers d’art et de l’industrie du luxe, Catherine DUMAS, Sénatrice de Paris, a participé hier soir, Cité de l’Architecture, à la soirée de lancement de cette manifestation nationale en présence des Ministres concernés, Frédéric MITTERRAND et Frédéric LEFEBVRE.

Ce Vendredi 1^er avril, Catherine DUMAS a poussé la porte des ateliers métiers d’art de Seine-Saint-Denis, lors d’une visite de terrain, aux côtés de Frédéric LEFEBVRE.

En fin d’après-midi, elle a retrouvé Brigitte KUSTER, Maire du 17^e, Hervé BENESSIANO, 1^er adjoint et les élus de l’arrondissement pour une visite des ateliers d’art membres de la dynamique association professionnelle « Carré Batignolles ».

Durant tout le week-end, plus de 3000 professionnels vous accueillent chez eux. N’hésitez pas à leur rendre visite, à découvrir leur histoire, leurs travaux.

Les enfants y sont aussi les bienvenus. Alors profitez-en ! Touchez la matière, regardez les outils, saluez l’audace d’une forme ou l’originalité d’un décor.

L’ensemble du programme des festivités est disponible sur le Site de l’INMA. http://www.journeesdesmetiersdart.com/

Ce Week-end, partez à la rencontre d’hommes et de femmes de passion.

 

PARAPACTUM : Un parapluie de protection, 100% inventé en France, 100% conçu en France, 100% développé en France, 100% fabriqué en France.

Oui, la France est performante et ne manque pas d’atouts pour l’emporter dans la compétition économique mondiale. Alors, halte à la sinistrose et au pessimisme ambiant ! Qu’on se le dise, nous avons toutes les cartes en main pour améliorer notre situation, gagner de nouvelles parts de marchés, faire rentrer des devises et créer des emplois. Il nous faut juste changer un peu d’état d’esprit, ne pas regarder que ce qui va mal et prendre modèle sur ce qui va bien, en France comme à l’étranger.

Certes volontarisme ne signifie pas naïveté. Taire les faiblesses de notre pays serait une erreur, mais oublier de regarder enfin les forces multiples et variées dont dispose la France en serait une plus grande encore. Alors, régulièrement, ce site laissera un peu d’espace à ce qui marche ou qui pourrait marcher. Un peu d’espace à la France qui gagne, à la France qu’on aime.

Un parapluie high-tech, 100% français, pour la sécurité des officiels !

La Manufacture de Parapluie de Cherbourg présentera, mercredi, à Paris, une nouvelle génération de parapluies innovants, imaginée et crée par la société cotentinaise Mapache, spécialiste du parapluie haut de gamme et luxe, sous la marque Véritable Cherbourg.

ParaPactum est un parapluie qui offre des fonctionnalités de sécurité et de protection de la personne tout à fait exceptionnelles. Il fait office, bien sûr, de protection contre la pluie, c’est un pur Véritable Cherbourg, à l’allure sobre et luxueuse, qui protège des intempéries, mais peut aussi veiller à la sécurité des individus dans des cas d’extrême agression.

Véritable bouclier, ParaPactum permet de parer aux impacts violents, repousse la foule et maintient ainsi les agresseurs à distance. Son large spectre déployé obstrue la personne à protéger de la vue des indésirables. Ouvert, il est taillé pour résister : aux acides, au feu, aux projectiles lancés avec force, tels des boulons, balles de pétanque, pavés, tessons de bouteilles, pots de fleurs, et surtout aux objets tranchants comme des lames de couteaux, poignards et autres pics à glace !

ParaPactum est une innovation High-Tech en 3D, dont l’aboutissement a demandé plus de deux années de R&D et une conjonction d’entreprises françaises certifiées qui travaillent habituellement pour le nucléaire, la défense ou le spatial, principalement situées dans le Cotentin ou en Normandie.

ParaPactum a été testé en soufflerie par l’Institut Aérotechnique de St Cyr L’Ecole. Il a été testé, validé et adopté comme « parapluie » officiel de protection par le Groupe de Sécurité du Président de la République . Divers tests du RAID et GIGN en situation ont apporté de nouvelles fonctions… au bénéfice de toute personnalité et VIP à protéger.

ParaPactum n’a pas d’équivalent au monde et ses performances en protection sont le résultat d’une conception basée sur des critères jusqu’alors inconnus. Ses matériaux sont utilisés en formule 1 et garant de solidité, résistance, vitesse et légèreté.

Le ParaPactum est idéal pour accompagner tous les services de sécurité, experts de la protection rapprochée pour tous les publics : officiels, leaders économiques, personnalités....

 

 

L'export, il est facile de s'y mettre !

Répondant à l’invitation de Christophe LECOURTIER, Directeur Général d’UBIFRANCE, Catherine DUMAS a visité, ce matin, le siège de l’agence et rencontré les membres de l’équipe en charge de promouvoir et d’accompagner à l’export, les entreprises françaises du secteur Mode, luxe et métiers d’art.

Un réseau de femmes et d’hommes multiculturels installés en France et dans le monde.

Une visio-conférence avec Shanghai a pu s’organiser à la mi-journée avec l’équipe dédiée à l’accompagnement des entreprises françaises sur les marchés chinois, dont un VIE (Volontariat International en Entreprise).

En partenariat avec les Chambres de Commerce et d’Industrie (CCI), UBIFRANCE est l’Agence de référence pour le développement international des entreprises françaises.

L’agence dispose désormais de 66 Missions économiques présentes dans 46 pays. Elles forment le réseau mondial d’UBIFRANCE, soit plus de 1200 collaborateurs, en France et à l'étranger, dédiés à l’accompagnement des entreprises françaises dans leur développement à l’export.

Etablissement Public Industriel et Commercial, UBIFRANCE est placé sous la tutelle du Ministre de l'Economie, des Finance et de l’Industrie, du Secrétaire d'Etat chargé du Commerce extérieur, et de la Direction Générale du Trésor.

Coordonnée, orientée et appuyée par les experts d’UBIFRANCE généralement spécialistes d’un secteur donné, la démarche export de l’entreprise est élaborée conjointement avec l’agence.

Ainsi, UBIFRANCE apporte à l'entreprise le conseil qui lui permet de sélectionner la prestation adaptée à ses besoins, à partir d’une gamme complète de produits et de services (conseils, contacts, communication adaptée, découverte de nouveaux marchés, possibilités d’implantation,…).

Bien préparée, l’entreprise est alors soutenue jusque sur le terrain, grâce au réseau des Missions économiques-UBIFRANCE implantées dans le monde entier.

« Made in France » : la proposition de résolution d'Yves Jégo et de Catherine Dumas déposée, simultanément, à l'Assemblée Nationale et au Sénat

Yves Jégo, Député de Seine-et-Marne, et Catherine Dumas, Sénatrice de Paris, ont déposé aujourd'hui au Parlement une « proposition de résolution pour une meilleure traçabilité des produits vendus en Europe, au bénéfice des consommateurs et de l'emploi ».

Ce texte, qui s'inscrit dans les suites de la mission menée par Yves Jégo sur le « Made in France » à la demande du Président de la République, est cosigné par près de deux cents parlementaires de droite, du centre et de gauche.

Pour la première fois, le même texte est déposé simultanément au Sénat et à l'Assemblée.

Pour la sénatrice et le député, il s'agit là d'un symbole fort sur un sujet qui relève de la défense de l'emploi local et de l'information du consommateur. M. Jégo et Mme Dumas souhaitent que les deux assemblées puissent prendre solennellement position, alors que les institutions européennes examinent plusieurs textes relatifs à l'étiquetage de l'origine des produits de consommation, pour une évolution positive de la réglementation en la matière.

La proposition de résolution porte sur les deux sujets suivants:

1-    L'obligation de marquage de l'origine qui ne concerne aujourd'hui que certains produits alimentaires et dont l'extension est souhaitée par le Parlement européen ;

2-    La valorisation des savoir-faire industriels locaux par la création d'indications géographiques protégées (IGP) auxquelles pourraient prétendre des productions industrielles locales (porcelaine, coutellerie, produits textiles etc.), comme c'est déjà le cas de nombreux produits agroalimentaires.

Yves Jégo et Catherine Dumas appellent donc de leurs voeux l'aboutissement des réflexions en cours à Bruxelles dans ces deux domaines depuis plusieurs années, comme le souhaitent leurs collègues parlementaires européens.

Ils estiment que les consommateurs français et plus largement européens attendent une plus grande sincérité de l'information sur l'origine et les processus de fabrication, celle-ci se limitant trop souvent à des mentions ambiguës ou induisant les acheteurs en erreur.

Dans un monde ouvert, le consommateur doit pouvoir, au contraire, arbitrer librement selon les critères qui sont les siens et sur la base d'une information transparente.

Contacts:

Assemblée Nationale – Bureau d'Yves Jégo

01 40 63 60 12 – [email protected]

Sénat – Bureau de Catherine Dumas

01 42 34 37 43 – [email protected]

www.legout.com revient sur le récent dîner du Club de la Table Française

 

Disponible sur Internet, en cliquant ICI, le reportage réalisé pour le site « La semaine du goût » lors du Dîner d’exception organisé par Catherine DUMAS, Présidente du Club Parlementaire de la Table Française, en présence de quatre Ministres (Bruno LE MAIRE, Frédéric MITTERRAND, Pierre LELLOUCHE et Frédéric LEFEBVRE) lors du récent Salon de l’Agriculture, porte de Versailles à Paris 15^e.

A noter, les interviews de Catherine DUMAS, Alain DUCASSE, Rama YADE, Laurent POURCEL et Frédéric MITTERRAND.

Apprentissage : un taux d'insertion supérieur à 80% !

Catherine DUMAS accompagnait ce matin au CFA « La bonne graine » à Paris 11^e, la Ministre Nadine MORANO, en charge de l’Apprentissage et de la Formation professionnelle.

Elue de l’arrondissement et Conseillère de Paris très impliquée dans la défense et la promotion des métiers d’art et d’excellence, Claude-Annick TISSOT était également présente.

La visite du Centre de Formation d’Apprentis des Métiers d’Art du Décor Intérieur, conduite par son Directeur Général, Pascal PORTE, a permis aux élus de découvrir les 13 formations de niveaux V (CAP) ou IV (BMA et BP) dispensées à « La bonne graine », en Ebénisterie, Tapisserie d’ameublement, Encadrement, Dorure à la feuille ornemaniste, Rentraiture, Arts du bois, Emballage professionnel ou encore Menuiserie en Sièges.

Une formidable occasion pour Nadine MORANO et la délégation de s’entretenir chaleureusement avec les apprentis et leurs professeurs et de revenir sur les récentes annonces du Président de la République et de la Ministre afin de promouvoir l’apprentissage en France. Une formation en alternance qui facilite la transition école – emploi, en permettant aux jeunes de 16 à 25 ans de se former à la fois sur les bancs de l'école et en entreprise.

Une méthode qui a fait la preuve de son efficacité depuis des siècles, et permet au CFA d'afficher un taux d'insertion supérieur à 80% (chiffre Région d'Ile de France).

Les armées de l’OTAN coiffées par la France !

Oui, la France est performante et ne manque pas d’atouts pour l’emporter dans la compétition économique mondiale. Alors, halte à la sinistrose et au pessimisme ambiant ! Qu’on se le dise, nous avons toutes les cartes en main pour améliorer notre situation, gagner de nouvelles parts de marchés, faire rentrer des devises et créer des emplois. Il nous faut juste changer un peu d’état d’esprit, ne pas regarder que ce qui va mal et prendre modèle sur ce qui va bien, en France comme à l’étranger.

Certes volontarisme ne signifie pas naïveté. Taire les faiblesses de notre pays serait une erreur, mais oublier de regarder enfin les forces multiples et variées dont dispose la France en serait une plus grande encore. Alors, régulièrement, ce site laissera un peu d’espace à ce qui marche ou qui pourrait marcher. Un peu d’espace à la France qui gagne, à la France qu’on aime.

Les armées de l’OTAN coiffées par la France !

Sous administration judiciaire, la société Laudhere (aujourd’hui Béatex) installée à Oloron-sainte-marie n’était pas en grande forme en 2008… Jusqu’à ce que Pierre LEMOINE et un associé décident de reprendre cette affaire, de la réorganiser économiquement et socialement et de lui donner de nouvelles ambitions. Deux ans plus tard, cette société, dernier fabricant du béret basque à 100%, vient de passer ses effectifs de 25 à 40 salariés et s’apprête à doubler sa production et son chiffre d’affaires. Ce fabricant de béret français, qui fournissait déjà l’armée française depuis deux ans vient d’être homologuée pour fournir les armées des 28 pays de l’OTAN.

En gagnant seulement 15 à 20% des marchés de l’OTAN cela représenterait déjà 3 à 5 millions de chiffres d’affaires supplémentaires et une quinzaine d’employés à recruter. Une perspective positive qui n’interdit pas non plus de poursuivre la diversification engagée dans la mode féminine (3200 modèles), sous la marque Laulhère.

La France qui gagne, la France qu’on aime !

Enseignement du dessin de la maternelle au lycée...

Catherine Dumas avait attiré l'attention du Ministre de l'Education nationale sur l'enseignement du dessin de la maternelle au lycée.

En effet, l'éducation artistique et la culture générale ne sauraient être l'apanage de quelques-uns. Aussi, la mise en place d'un enseignement obligatoire d'histoire des arts, de l'école primaire au lycée, auquel doivent contribuer l'ensemble des disciplines, garantit désormais l'équité culturelle.

Dans ce cadre, il semble nécessaire de redonner un caractère obligatoire à l'enseignement du dessin, pour tous les élèves, au cours de leur scolarité.

D'autant que, pour près d'un enfant sur deux, l'issue de sa scolarité ne résidera pas dans l'enseignement général, mais plutôt dans les filières technologiques ou manuelles où le dessin est très souvent un outil de base.

Aussi, cette pratique artistique ne peut être une « option » réservée aux élèves « volontaires » et il semble indispensable de remettre, non pas les arts plastiques, mais précisément le dessin au programme, de la maternelle au baccalauréat.

Catherine DUMAS avait donc souhaité que le Ministre lui indique les mesures qui vont être mises en place pour permettre aux élèves de maitriser les bases du dessin, voire de détecter parmi eux certains talents.

Réponse de M. CHATEL, Ministre de l'Education nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative

La pratique artistique occupe une place identifiée et importante tout au long de la scolarité obligatoire.

À l'école maternelle, elle constitue une activité qui irrigue les enseignements dispensés graphisme, finesse gestuelle, créativité, perception et sensibilité. Le dessin et les compositions plastiques sont les moyens d'expression privilégiés. Les enfants expérimentent les divers instruments, supports et procédés du dessin. Dans ce contexte, l'enseignant aide les enfants à exprimer ce qu'ils perçoivent, à évoquer leurs projets et leurs réalisations ; il les conduit à utiliser pour ce faire, un vocabulaire adapté.

À l'école élémentaire, des séances consacrées aux arts visuels et à l'éducation musicale, autour de projets artistiques sont organisées à raison de quatre-vingt-une heures annuelles au cycle 2 et soixante-dix-huit heures au cycle 3. La sensibilité artistique et les capacités d'expression des élèves sont développées par les pratiques artistiques, mais également par des références culturelles, par des rencontres et l'étude d'oeuvres diversifiées relevant des différentes composantes esthétiques, temporelles et géographiques liées à l'histoire des arts. Les arts visuels regroupent les arts plastiques, le cinéma, la photographie, le design, les arts numériques. Leur enseignement s'appuie sur une pratique régulière et diversifiée de l'expression plastique, du dessin et la réalisation d'images fixes ou mobiles. Les objectifs de fin de cycle, qui font partie intégrante des programmes mentionnent explicitement comme une activité obligatoire pour tous les élèves : « pratiquer le dessin et diverses formes d'expressions visuelles et plastiques (formes abstraites ou images) en servant de différents matériaux, supports, instruments et techniques ».

Au collège, l'enseignement des arts plastiques, qui fait partie des enseignements obligatoires, à raison d'une heure/élève hebdomadaire, poursuit l'éducation artistique initiée à l'école. Le dessin fait partie intégrante de cet enseignement obligatoire, comme le précise le programme d'arts plastiques au collège (BOEN spécial n° 6 du 28 août 2008) : « En arts plastiques, le dessin est une activité fondamentale ». En outre, le dessin est mentionné dans la compétence 5 du socle commun de connaissances et de compétences que doivent acquérir les élèves au cours de la scolarité obligatoire, intitulée « culture humaniste » : ainsi, au deuxième palier pour la maîtrise du socle commun, les élèves doivent « pratiquer le dessin et diverses formes d'expression visuelle et plastique (formes abstraites ou images) en se servant de différents matériaux, supports, instruments et techniques ».

Au lycée général et technologique, les élèves qui le souhaitent peuvent poursuivre une formation en arts plastiques incluant la pratique du dessin selon des modalités diverses : dans les enseignements d'exploration « Arts du visuel » ou « Création et culture design » en classe de seconde générale et technologique ; dans l'option facultative « Arts plastiques », de la seconde à la terminale ; dans l'enseignement de spécialité « Arts plastiques » en classes de première et terminale de la série littéraire ; dans la série technologique « Sciences et technologies du design et des arts appliqués » (classes de première et terminale).

Enfin, les dispositifs spécifiques des ateliers artistiques, au collège et au lycée, et des classes à projet artistique et culturel (primaire et secondaire), reposant sur des projets élaborés par des enseignants volontaires, peuvent permettre à certains élèves de bénéficier d'une pratique artistique plus approfondie, notamment en arts plastiques et le cas échéant, en dessin.

Catherine DUMAS reçoit Yves JEGO au Sénat pour promouvoir la marque France

Catherine DUMAS organisait, cet après-midi, au Sénat, une réunion de travail autour du Député et ancien ministre, Yves JEGO.

Celui-ci a engagé, dès novembre 2009, une réflexion sur l’étiquetage d’origine des produits de consommation et la valorisation, sur le marché intérieur comme à l'export, du « Made in France » et plus largement de la « Marque France ».

Un rapport final de cette mission a d’ailleurs été remis le 6 mai 2010 au Président de la République et publié par la Documentation française : Télécharger le rapport .

Ce sujet est revenu au cœur de l’actualité ces dernières semaines : plusieurs propositions de règlements relatifs à l’information du consommateur en matière d’origine sont en cours de discussion au Parlement européen ou au Conseil et certains de nos voisins européens, comme l’Italie, ont engagé la réforme de leurs « Made in » respectifs.

Compte tenu de cette actualité et de l’engagement de beaucoup de parlementaires, de droite comme de gauche, pour défendre l’emploi et la production en France, Yves JEGO à l’Assemblée Nationale et Catherine DUMAS au Sénat ont convenu de déposer, simultanément dans les deux chambres du Parlement français, une "Proposition de résolution pour une meilleure traçabilité des produits vendus en Europe au bénéfice des consommateurs et de l'emploi".

Ce texte porte sur les deux sujets suivants:

• La réglementation relative à l'étiquetage de l'origine des produits de consommation,
• La valorisation des savoir-faire industriels locaux par la création d'indications géographiques protégées (IGP) pour certains produits non-alimentaires.

Deux moyens pour les Parlementaires d’inscrire, dans la durée, une action de valorisation du « Made in France » et de prendre solennellement position sur ce sujet qui relève à la fois de la bonne information du consommateur et de la défense de l'emploi local.

Ainsi, en donnant une information transparente aux consommateurs, ce système lui laisse le pouvoir d’arbitrer. Un choix libre, dans un monde ouvert.

Pour plus d'informations sur ce sujet :

Téléchargement Synthese Rapport JEGO

Téléchargement Enquête Kelkoo Made in France 2010 11 04

Téléchargement CP Oséo Made in France 2011 03 02