Le 8 octobre, La Poste française innovera en émettant 4 mini blocs de timbres en dentelle véritable, sur papier gommé.
Chaque bloc contiendra un timbre sur lequel un morceau différent de dentelle véritable industrielle sera apposé.
Un peu d'histoire...
La dentelle, qui n'apparaît que vers le milieu du XVIème siècle et uniquement dans le monde occidental, est un tissu sans trame ni chaîne. C’est le résultat d'une combinaison de fils, exécutée à l'aiguille ou aux fuseaux, à l’exclusion de tout autre procédé, généralement en fil de soie ou de lin. Le raffinement de ses motifs et sa complexité ont fait de la dentelle aux fuseaux et à l’aiguille un métier d’art.
D'abord apanage des hommes, la dentelle fut utilisée par les femmes dès le XVIIème siècle.
En France, les premières manufactures datent du XVIIème siècle à l'initiative de Colbert, quant aux métiers mécaniques imitant la dentelle à la main, ils sont apparus dans le Nord de la France vers 1820 et ont permis le développement d’une véritable industrie.
Aujourd’hui, la magie de la dentelle ne s’est pas démentie et les grands couturiers lui ont redonné ses lettres de noblesse.
Quatre spécimen de dentelle véritable sur les blocs : chaque bloc contient un timbre sur lequel est apposé un morceau différent de dentelle mécanique. Encollée à chaud selon un procédé qui permet de déposer de la colle uniquement sur la dentelle, le complexe dentelle/papier est ainsi très résistant.
Dentelle mécanique Leavers type Chantilly
La dentelle inspirée de la dentelle au fuseau « Chantilly » est essentiellement utilisée pour faire des étoles ou des robes longues ou courtes pour cocktails, mais également pour la confection de coussins, de cols, de manchettes ; elle évoque la Haute- Couture avec son côté transparent, sensuel et vaporeux.
Dentelle mécanique aux fuseaux du Puy-en-Velay et de sa région
Après s'être imposée au XVIIème siècle, la dentelle du Puy, aux fuseaux, connut son apogée au siècle suivant où elle était diffusée dans le monde entier. La révolution française de 1789 lui fut néfaste. Relancée au XIXème siècle, elle connut encore une grande prospérité qui est allée en déclinant durant le XXème siècle. A la fin du XXème siècle, elle est devenue un attrait touristique remarqué. La fabrication de dentelle mécanique aux fuseaux, qui a vu le jour à la fin du XIXème siècle sur le bassin du Puy-en-Velay, y subsiste toujours avec une dentelle qui ressemble à celle réalisée à la main.
Dentelle mécanique Leavers type Alençon
Lorsque vers 1730, les dentelles furent classées en catégories hiver et été, la dentelle d'Alençon à l’aiguille, fut reconnue comme dentelle d'hiver car elle présentait plus de relief ; elle était plus épaisse et plus lourde que la Malines ou le Point d'Angleterre, dentelles d'été toutes les deux faites aux fuseaux.
Le fond du bloc reprend un maillage aérien en nid d’abeille, typique de cette dentelle.
Dentelle mécanique Leavers de Calais
La ville de Calais est le centre historique de la dentelle mécanique Leavers.
Le dessin sur le fond du bloc est celui du chariot, symbole du métier Leavers, qui restitue mécaniquement par son tissage les plus prestigieuses dentelles à la main.
Infos pratiques...
Les timbres seront vendus en avant-première à :
Le samedi 8 octobre de 10H00 à 17H00 au « Carré d’Encre », 13 bis rue des Mathurins, 75009 Paris.
L’entrée pour la vente anticipée se fait au 42 rue Godot de Mauroy, 75009 Paris.
Les samedi 8 octobre et dimanche 9 octobre 2011 de 10h00 à 18h00 au bureau de poste temporaire qui sera ouvert au Centre d’Enseignement de la Dentelle du Puy-en-Velay 44 rue Raphaël au Puy-en-Velay
Les samedi 8 octobre et dimanche 9 octobre 2011 de 10h00 à 17h00 (sous réserve de changement) au Musée de la Dentelle, Rue Charles Aveline, Cour Carrée de la Dentelle à Alençon
Les samedi 8 octobre et dimanche 9 octobre 2011 de 9h00 à 18h00 au bureau de poste temporaire qui sera ouvert au Musée de la Dentelle, 34 rue d’Aumale à Chantilly
Les samedi 8 et dimanche 9 octobre 2011 de 10h00 à 18h00 au Musée des Beaux Arts et de la Dentelle, 25 rue Richelieu à Calais
Les samedi 8 et dimanche 9 octobre 2011 de 10h00 à 17h00 (sous réserve de changement) à l’Espace Flambeau 280 avenue Charles Duchêne - 1er étage à Mirecourt
Ils ne seront pas vendus dans les bureaux de poste, hors ceux des villes ci-dessus, aux dates indiquées, mais uniquement par correspondance à Phil@poste service clients, sur le site Internet www.laposte.fr/timbres, aux réservataires et au « Carré d’Encre" à partir du 10 octobre.
Service clients : Z.I Avenue Benoit Frachon, BP 106 Boulazac, 24051 Périgueux Cedex 09.
Catherine Dumas avait attiré l'attention de M. le secrétaire d'État chargé de l'emploi sur l'information et la promotion des dispositifs de formation professionnelle auprès des employeurs. Une récente étude indique que la réforme de la formation professionnelle est peu connue et mal comprise des entreprises, et notamment des PME. Il semblerait en effet que seuls 40 % des employeurs aient intégré les nouveautés de la réforme de novembre 2009 dans leur politique de formation. De nombreux dispositifs prévus par ce texte restent méconnus, comme la mise à disposition de fonds pour former les salariés contraints au chômage partiel ou devant être reclassés suite à un licenciement économique, la mise en œuvre d'un droit individuel à la formation (DIF) "portable", ou encore le système permettant au salarié licencié économiquement ou en période de chômage de garder ses droits. Elle souhaiterait qu'il lui précise les modalités d'information qui vont être mises en œuvre pour promouvoir les nouveaux dispositifs de formation professionnelle auprès des employeurs.
Réponse du Ministre du travail, de l'emploi et de la santé :
« Le ministre du travail, de l'emploi et de la santé a pris connaissance avec intérêt de la question relative aux modalités d'information et de promotion des nouveaux dispositifs, de formation professionnelle auprès des entreprises, en particulier des petites et moyennes entreprises (PME). Les partenaires sociaux sont les premiers promoteurs de ces nouveaux dispositifs dont ils sont, en partie, les initiateurs. Le Fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnels (FSPP) et les organismes paritaires collecteurs agréés (OPCA) développent quant à eux une communication en direction des entreprises et de leurs salariés sur les dispositifs relevant des accords nationaux interprofessionnels. Tandis que les commissions paritaires interprofessionnelles régionales pour l'emploi (COPIRE) et les antennes des OPCA constituent des relais dans les territoires pour diffuser l'information auprès des entreprises, l'employeur et les instances représentatives du personnel jouent, au sein de l'entreprise, un rôle majeur pour l'information des salariés sur l'évolution prévisible des emplois et des qualifications de leur secteur d'activité ainsi que sur les dispositifs de formation auxquels ils peuvent prétendre. De plus, au-delà de la communication réalisée par les partenaires sociaux, les instances paritaires de gestion des fonds de la formation professionnelle (le FPSPP, les OPCA et les fonds de gestion du congé individuel de formation-FONGECIF) ont spécifiquement pour mission d'informer et d'accompagner les employeurs et les salariés dans l'appropriation de la réforme de la formation professionnelle. À ce titre, il leur appartient de sensibiliser les employeurs relevant de leur champ de compétences aux novations introduites par la loi, parmi lesquelles : le relèvement du seuil de collecte leur permettant de déployer un service de proximité de qualité, en particulier au bénéfice des très petites, petites et moyennes entreprises (TPE-PME) ; la sanctuarisation des contributions des entreprises de moins de cinquante salariés pour garantir le financement des formations de leurs salariés et le principe de fongibilité asymétrique, qui permet d'éviter que ces ressources contribuent au financement des plans de formation des entreprises de cinquante salariés et plus ; les simplifications relatives aux actions de formation (réduction de 3 à 2 des catégories d'actions de formation au titre du plan de formation, possibilité de réaliser un congé individuel de formation hors du temps de travail, portabilité du droit individuel de la formation). En outre, l'article R. 6332-23 du code du travail prévoit l'obligation pour les organismes collecteurs de créer un service dématérialisé permettant l'accès des employeurs et des salariés à l'information sur les priorités, les critères et les conditions de prise en charge selon les dispositifs. Enfin, dans une relation de proximité, les OPCA informent leurs entreprises adhérentes sur les dispositifs qui peuvent être mobilisés par elles dans le cadre de conventions qu'elles ont signées avec le Fonds national pour l'emploi formation, Pôle emploi ou encore dans le cadre des projets du FPSPP, pour la prévention des licenciements économiques, la reconversion professionnelle des salariés ou la préparation opérationnelle à l'emploi. Dans les conventions d'objectifs et de moyens qui seront signées avec ces organismes au cours du quatrième trimestre 2011, l'État sera particulièrement vigilant quant à l'effectivité du service dématérialisé, la délivrance d'une information et d'un conseil de premier niveau renforcés à l'endroit des TPE-PME. »
Catherine Dumas avait attiré l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services et de la consommation sur la protection des consommateurs en matière de dépannage à domicile. Le dépannage à domicile, qu'il s'agisse de l'installation, de l'entretien, de la réparation ou du remplacement, dans des domaines variés comme la plomberie, l'électricité, le bâtiment ou encore l'électroménager, est souvent à l'origine de problèmes pour les consommateurs.
La méconnaissance le plus souvent totale des aspects techniques de ces interventions, aggravée par le caractère d'urgence, peuvent malheureusement conduire à des situations manifestement abusives de la part de professionnels parfois indélicats. Une part importante des litiges réside dans le non-respect par le prestataire de ses obligations d'information préalable du consommateur, portant notamment sur le prix de l'intervention, le coût de la main d'œuvre, les modalités de décompte du temps passé, les frais de déplacement, le caractère payant ou gratuit du devis ou encore le prix exact des éventuelles pièces de rechange. L'ordre de réparation, établi pour constater l'état initial des lieux ou de l'appareil, et pour indiquer la motivation des réparations à effectuer, est également une obligation incombant au prestataire trop souvent non respectée. On constate de même trop souvent une rédaction incomplète des devis, omettant par exemple de mentionner le décompte détaillé, en quantité et en prix, de chaque prestation et produit nécessaire à l'opération prévue. Elle souhaiterait qu'il lui détaille les obligations incombant aux prestataires de ces services à domicile, qu'il lui précise les recours ouverts aux consommateurs, et qu'il lui indique les mesures de contrôle ou de sanction qui vont être prises pour limiter les pratiques abusives ou frauduleuses.
Réponse du Secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation :
Plusieurs dispositions prises dans le cadre du code la consommation sont de nature à protéger le consommateur lorsqu'il a recourt aux services d'une entreprise de dépannage à domicile. L'article L. 113-3 du code de la consommation impose à tout vendeur de produits ou de services une information préalable du consommateur sur les prix et sur les conditions particulières de la vente. L'arrêté du 2 mars 1990 relatif à la publicité des prix des prestations de dépannage, de réparation et d'entretien dans le secteur du bâtiment et de l'équipement de la maison fixe les modalités de cette information. Ainsi, lorsque l'entreprise reçoit la clientèle dans ses locaux, le prix des différentes prestations fait l'objet d'un affichage visible et lisible à l'intérieur de ces locaux de l'endroit où se tient la clientèle. Lors d'une intervention, l'entreprise est tenue de communiquer au client, préalablement à tous travaux, un document écrit contenant les informations concernant les différentes composantes du prix : taux horaires de main-d'oeuvre TTC, modalités de décompte du temps passé, frais de déplacement, caractère payant ou gratuit du devis... Toute publicité écrite, permettant une commande à distance, doit comporter les informations suivantes : nom, raison sociale et adresse de l'entreprise, numéro d'inscription au registre du commerce ou au répertoire des métiers, taux horaires de main-d'oeuvre TTC pour chaque catégorie de prestation concernée, frais de déplacement, caractère payant ou non du devis. Lorsque le montant estimé de l'intervention est supérieur à 150 ¬, le professionnel doit établir un ordre de réparation constatant l'état initial des lieux ou de l'appareil et indiquant la motivation de la demande et les réparations à effectuer en présence du consommateur. En outre, un devis est obligatoire si le montant estimé des réparations est supérieur à 150 ¬ ou si le consommateur le demande. Toutefois, le devis n'est pas obligatoire pour une intervention effectuée en situation d'urgence absolue. Dans cette situation, l'ordre de réparation reste quant à lui obligatoire. Dès lors que la prestation est supérieure à 25 ¬, le professionnel est tenu de délivrer une note comportant notamment un décompte détaillé en quantité et prix de chaque prestation de produit fourni. Malgré ces dispositions, le dépannage à domicile et plus particulièrement les interventions effectuées en urgence sont sources de problèmes pour les consommateurs. En 2010, les services d'entretien et réparation à domicile étaient au 36e rang des réclamations enregistrées par le baromètre des plaintes adressées à la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes, soit 17,7 % du total des réclamations, contre 18,2 % pour la téléphonie. Pour ces raisons, le secteur donne lieu à des enquêtes de portée nationale visant à vérifier le respect des règles de protection du consommateur. Ces enquêtes sont effectuées très régulièrement dans chacun des secteurs du dépannage à domicile. Elles sont accompagnées de contrôles plus ciblés concernant les zones géographiques les plus sensibles, telle la région parisienne, ou les secteurs concentrant le plus grand nombre de plaintes, telles la serrurerie et la plomberie. En outre, les plaintes de consommateurs font l'objet d'un traitement efficace et donnent lieu, en cas d'infraction avérée, aux suites contentieuses prévues par le code de la consommation.
Catherine Dumas avait attiré l'attention de M. le secrétaire d'État chargé du commerce, de l'artisanat, des petites et moyennes entreprises, du tourisme, des services, des professions libérales et de la consommation sur la durée d'engagement pour les souscripteurs d'un abonnement de téléphonie mobile.
Près de 75 % des abonnés souscrivent un engagement de téléphonie mobile d'une durée de deux ans, ce qui freine significativement leur mobilité et limite donc la concurrence. Le dernier observatoire trimestriel de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) souligne la percée des opérateurs virtuels (MVNO, mobile virtual network operators) sur le marché. Après avoir longtemps stagné, la part de marché de ces nouveaux opérateurs vient aujourd'hui d'atteindre 9,87 % des particuliers, grâce à une forte progression fin 2010 et début 2011. Si l'offre des MVNO s'est significativement améliorée, cette hausse s'explique aussi par l'opportunité, pour certains consommateurs, de résilier leur abonnement suite à la hausse de la TVA. Ainsi, les MVNO ont enregistré 570 000 abonnés supplémentaires entre décembre 2010 et mars 2011, contre une perte de 524 000 pour les trois opérateurs historiques de réseau. L'occasion de résilier sans frais a en effet été saisie par nombre de consommateurs. La rapide progression des MVNO à cette occasion démontre donc que la fidélité des abonnés est contrainte. Dans ce contexte, la réduction de la durée maximale d'engagement à 12 mois au lieu de 24, recommandée par l'ARCEP dès 2006, pourrait permettre de dynamiser la concurrence et favoriser l'arrivée prochaine sur le marché d'un quatrième opérateur. La discussion prochaine d'un projet de loi visant à renforcer les droits et la protection des consommateurs fournit un véhicule législatif adapté à cette question. Elle lui demande de lui préciser les intentions du Gouvernement sur ce sujet.
Réponse de M. le secrétaire d'État chargé du commerce : L'encadrement à douze mois des durées minimales d'engagement des contrats de services de communications électroniques pourrait aller à l'encontre des intérêts des consommateurs. Plus précisément, cet encadrement pourrait conduire à une augmentation des prix, en particulier dans l'hypothèse où les consommateurs se verraient proposer une moindre subvention des terminaux. En effet, les durées d'engagement contribuent pour certains opérateurs à l'amortissement du coût d'acquisition des clients. En outre, la question de la réduction des durées minimales d'engagement a déjà été traitée dans le cadre de la loi n° 2008-3 du 3 janvier 2008 pour le développement de la concurrence au service des consommateurs. Cette loi encadre doublement les durées minimales d'engagement. Tout d'abord, elle interdit les durées d'engagement excédant vingt-quatre mois. Elle oblige ensuite les opérateurs à proposer aux consommateurs, pour toute offre assortie d'une durée d'engagement excédant douze mois, la même offre comportant des durées d'engagement n'excédant pas douze mois, tout en reconnaissant que ces dernières pourront être plus chères. À ce titre, des offres comportant des durées d'engagement de douze mois sont donc déjà systématiquement commercialisées. Enfin, un projet de loi renforçant les droits, la protection et l'information des consommateurs a été déposé au Parlement. Il accentue encore les mesures prévues par la loi du 3 janvier 2008 en prévoyant qu'une offre sans engagement sera disponible chez chaque opérateur pour chaque catégorie de services de communications électroniques.
Sur la proposition du Premier ministre, le Président de la République a mis
fin aux fonctions de Mme Christine Lagarde, ministre de l'Economie, des
Finances et de l'Industrie. Il a nommé :
Placés sous la haut patronage de la Sénatrice et Conseillère de Paris, Catherine DUMAS, les éliminatoires du Trophée MASSE du Foie gras pour la région « Paris-Nord-Normandie » se sont tenus, aujourd’hui, au sein de l’école hôtelière Grégoire Ferrandi.
Le jury de ce concours des créateurs d’émotion était présidé par Guillaume GOMEZ, Chef à la présidence de la République qui avait rassemblé autour de lui, venant de toute la France, des chefs qui, comme lui, ont obtenu le titre prestigieux de Meilleur Ouvrier de France.
Tous, de Pascal GRIERE chef à la présidence du Sénat à Laurent DELARBRE, chef de la Tour d’Argent, en passant par Michel NAVE, chef du restaurant de Pierre GAGNAIRE de la rue de Balzac, sont les représentants de grandes tables républicaines ou récompensées par les étoiles du Michelin ou les Toques de Gault et Millau. Conscients de l’importance que revêt la nécessaire transmission des savoir-faire et des exigences, ils étaient 11 présents pour juger les candidats du trophée MASSE 2011.
Alix DUBREUIL du Domaine de la Corniche remporte le premier prix avec un foie gras chaud : « Foie Gras en deux façons, une asperge et mangue amère » et ses pièces cocktail déclinant le thème des cinq continents.
Il rejoindra ses collègues déjà sélectionnés dans les 4 autres régions de France pour la grande finale en novembre prochain présidée par Anne-Sophie PIC.
Bertrand MILLAR monte sur la deuxième marche du podium. Ce jeune chef, venait tout récemment de changer d’établissement. Il a tenu à participer au concours malgré tout et est venu depuis le Château de Cordeillan Bages, en Gironde, où il travaille actuellement.
Enfin, Jean François Mesplède, ancien directeur du Guide Michelin et auteur du Dictionnaire des Cuisiniers jugeait l’accord mets et vin, prix spécial réalisé avec le CIVA (comité interprofessionnel des vins d’Alsace) remporté par Frédéric MENTEC du Grand Hôtel de Cabourg.
(Crédit Photo : Jeff NALIN / De gauche à droite : Frédéric MASSE, Catherine DUMAS, Alix DUBREUIL, Guillaume GOMEZ et Sabine MASSE)
Créé sous Napoléon 1er par le Décret organique du 17 mars 1808 le baccalauréat (« baie de laurier » en latin) reste un passage obligé de la fin des études secondaires dans le cursus français.
Ils n’étaient que 31 lors de la première édition et 654 548 cette année (dont ma fille Clémence).
Une pensée donc pour tous nos jeunes (et pour leurs parents) à l’occasion de cette première épreuve de philosophie.
(Illustration : Médaille - Monnaie de Paris)
Catherine DUMAS, membre du groupe d’amitié parlementaire France-Japon et présidente du Club parlementaire de la table Française ne pouvait manquer le dîner de solidarité envers le Japon qu’organisaient, mardi soir, les onze plus grands chefs français, sous les lustres du Quai d’Orsay et en présence de l’ambassadeur du Japon en France, Yasuo SAITO et de son homologue, Philippe Faure, ambassadeur de France au Japon.
Cette soirée « Urgence Japon » s’est organisée en un temps record de deux semaines. Initiée par Alain DUCASSE et une quinzaine de chefs du Collège Culinaire de France tels que Paul BOCUSE, Yannick ALLENO, Michel GUERARD, Pierre TROISGROS ou encore Alain DUTOURNIER, cette soirée a rassemblé près de « 300 généreux gastronomes ».
Le prix du dîner était fixé à 1 000 euros par personne, afin de collecter 250000 euros nécessaires au financement d’un gymnase et d’une école au nord du Japon. Au menu : du homard et des légumes du printemps cuisinés en barigoule, en entrée. Puis, du dos de bar aux morilles, suivi d’un gigot d’agneau de lait rôti en cocotte. Sans oublier la fraise des bois, servie avec un sorbet Yuzu et arrosée de Champagne (Vranken cuvée Diamant et Pommery rosé cuvée Apanage), pour la touche sucrée finale.
Trois chefs japonais (Katsuhiro NAKAMURA, Tateru YOSHINO et Shin TAKAGI) étaient également associés à la préparation de ce dîner.
Dans le cadre de la séance des questions orales au gouvernement, Catherine DUMAS a obtenu hier, au Sénat, le soutien du Ministre de la Culture pour tenter de sauver la célèbre salle parisienne de concert l’Elysée Montmartre.
Ravagée par les flammes en mars dernier, ce lieu mythique de la chanson française et internationale pourrait définitivement disparaitre du paysage culturel parisien.
Comme l’a rappelé le Ministère de la Culture en réponse à la question posée par la Sénatrice de Paris, « la possibilité de reconstruction de la salle est encore à expertiser », « fin 2011, les premières préconisations pour assurer la conservation des parties protégées » seront rendues par l’Etat.
La survie de cette célèbre salle de concert bicentenaire est donc suspendue à ces préconisations, et aux intentions de la société propriétaire.
Elue de Paris et membre de la Commission Culturelle du Sénat, Catherine DUMAS a indiqué qu'elle sera particulièrement attentive au devenir de cette salle et au maintien de sa vocation éclectique. L’engagement de l’Etat pour prendre à sa charge une partie du coût des travaux devrait y contribuer.
En attendant, un concert de soutien réunissant les chanteurs Bénabar, Raphaël et Bernard Lavilliers sera organisé à l’Olympia, le 10 juillet prochain.
Contact Presse : Christophe LEKIEFFRE 06-60-95-33-17
Deux fois par an, les membres de l'association Rue de Tournon Paris invitent leurs voisins et amis à les retrouver dans la rue éponyme pour fêter, ensemble, le début de l'été ou la fin de l'année.
C'est donc en voisine du Sénat, que Catherine DUMAS retrouvera, en début de soirée, Mme Christine LARCHER, épouse du président du Sénat, l’ancien Ministre Yves GUENA et quelques collègues parlementaires pour aller rencontrer, avec le Maire du 6e arrondissement, Jean-Pierre LECOQ, ceux qui font la culture et l'histoire de cette rue si emblématique du centre de la Capitale.
Libraires prestigieux, rejoints rapidement par des artisans de luxe, ont formé depuis l'origine une union créative, unique à Paris, à la fois exclusive et ouverte. Cette originalité les animateurs de l’association souhaitent la partager, l'animer, la transmettre au sein d’une structure qui compte aujourd'hui 21 Maisons partenaires.
Au programme de la soirée : une exposition exceptionnelle des tapisseries patch-work de Sabine du TERTRE puis concerts des formations de la Garde Républicaine et de la Gendarmerie Mobile.
Pour sa communication, l’association s’appuie sur un site Internet à vocation éditoriale www.ruedetournonparis.com et un journal "Tournon les Pages".