Catherine DUMAS a effectué sa rentrée politique à Port-Marly à l’occasion du Campus des jeunes UMP. Une formidable occasion de saluer l’engagement des jeunes parisiens dans leurs circonscriptions et lors des campagnes électorales sur la Capitale.
Au terme de cette belle journée de travail et de réflexion, Catherine DUMAS a pu s’entretenir avec Benjamin LANCAR, brillamment réélu à la présidence des jeunes populaires et parallèlement engagé dans la reconquête du 10e arrondissement de Paris.
Aux côtés de Jean-François LAMOUR, Président du groupe UMP au Conseil de Paris, de Philippe GOUJON, Président de la Fédération de Paris et de Jean-Jacques GIANNESINI, très actif secrétaire départemental, elle a pu assister aux discours de clôture de Xavier BERTRAND, Secrétaire général de l’UMP et du Premier Ministre, François FILLON.
Le Premier ministre François FILLON a répondu avec énergie aux attaques virulentes du parti socialiste et de sa première secrétaire, Martine AUBRY, en rappelant que "la gauche française" qui "ne s'est jamais guérie de son dogmatisme", était "mal placés pour donner des leçons".
Dénonçant "le long réquisitoire" de La Rochelle, à l'encontre de la politique de sécurité du gouvernement, le Premier ministre a estimé que c'était "sans doute pour dispenser ses amis d'effectuer leur mea culpa".
Il a ainsi rappelé que le président "Nicolas SARKOZY s'est engagé auprès des Français pour tout faire pour restaurer l'autorité de la République", et que "le jour où la gauche sera plus crédible que lui sur ce sujet n'est pas pour demain !". Faisant valoir que "depuis 2002, les crimes et délits ont baissé de 17,5% alors qu'ils avaient bondi de 15% du temps de Lionel JOSPIN".
Sur le plan économique, le Premier ministre s'est voulu rassurant, soulignant que le gouvernement avait "traversé de terribles turbulences économiques" qui auraient "pu balayer la France et au passage la majorité", il s'est dit "optimiste" pour la suite, car "le pari de remettre la France en route est venu de nous".
François Fillon a ainsi conclu que "Renoncer, faiblir, douter, alors que c'est nous qui avons essuyé les plâtres du nouveau siècle" serait inconcevable".
Très belle rentrée politique !
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