Quatre-vingt dix années ont passé depuis la fin de la première guerre mondiale, mais la mémoire de ces événements est toujours vivante.
Cette mémoire est le partimoine de tous les Français, de toutes les familles qui comptent parmi elles un combattant de la Grande Guerre, et de toutes les communes de France qui entretiennent, sur leurs monuments aux Morts, le souvenir de leurs disparus morts pour la France.
La commémoration de cette date clé de notre Histoire nationale est toujours aussi importante, aujourd'hui, notre pays se souvient et honore la mémoire de ces hommes et de ces femmes au courage exceptionnel.
Nous vivons aujourd'hui une transition générationnelle, puisque depuis la disparition de Lazare Ponticelli, le dernier combattant lors de ces tragiques événements, nous entrons dans le temps de l'Histoire où la transmission de la mémoire se fera sans les témoins.
Il nous appartient donc de nous mobiliser, pour expliquer et transmettre aux plus jeunes le sens de ces événements, le sens du sacrifice de toute une génération de nos anciens. Perpétuant la tradition, Catherine Dumas assistait ce matin aux cérémonies commémoratives dans le 17ème arrondissement.
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