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La facture des ménages parisiens a augmenté de 56,7% depuis l'arrivée de l'équipe DELANOE à Paris...

C'est le résultat d'une étude très pointue et détaillée, réalisée par Philippe ELIAKIM et publiée dans le mensuel d'économie CAPITAL.

Un dossier fourni et argumenté qui "suffit à éclairer d'un jour nouveau l'image de transparence et de rigueur qu'était jusqu'à présent parvenir à se polir le premier magistrat socialiste de la Ville lumière".

S'appuyant sur les comptes de la ville et du département, ainsi que sur les rapports de l'Inspection générale, CAPITAL démonte admirablement la supercherie de celui qui, depuis dix ans, fait croire aux Parisiens qu'il a pu augmenter considérablement les dépenses de la ville, recruter 10000 nouveaux fonctionnaires, et tout cela "sans augmenter les impôts" jusqu'en 2008 et "modéremment" depuis.

Il n'en est rien ! Et c'est plutôt réconfortant que la presse prenne enfin ses distances avec le spécialiste de la communication qu'est Bertrand Delanoë pour regarder ce qu'il en est de la réalité des faits...

"En fait de gestion rigoureuse et de modestie budgétaire, Bertrand Delanoë fait chauffer depuis neuf ans les finances de la ville comme jamais dans son histoire" déclare Philippe ELIAKIM.

Fort de la situation budgétaire saine (confirmée par un audit réalisé en début de mandature Delanoë) que lui laissait la droite en 2001, la mairie a d'abord pu se servir dans les 600 millions d'euros de réserves, puis elle a explosé l'endettement de la ville en portant l'ardoise municipale des Parisiens de 1 à 2,8 milliards d'euros, tout en bénéficiant chaque année d'une taxe sur les plus-values passée avec l'explosion du marché immobilier parisien de 350 millions annuels en 2001 à 939 millions en 2008...

Une situation financière exceptionnelle qui n'a pas suffit à éponger l'accumulation des factures de la gauche au pouvoir et qui devra être complétée par une augmentation officielle et officieuse de la fiscalité des Parisiens.

Taxe d'habitation, taxe foncière, droits de mutation, taxe professionnelle, taxe de séjour, de balayage, redevance sur les terrasses, etc.... le fardeau fiscal des Parisiens s'est alourdi, d'après les calculs du mensuel économique, de +56,7% !

Cette incroyable dérive financière de la mairie de Paris et la gabegie qui l'accompagne est détayée dans ce dossier du mensuel CAPITAL de Novembre. A lire, sans modération !

 

Catherine DUMAS invitée de Nicolas SARKOZY et du président chinois Hu JINTAO

Remarquée pour son travail dans le cadre de l’amitié franco-chinoise, la Sénatrice de Paris Catherine DUMAS, qui avait déjà fait partie de la délégation officielle du Président de la République Nicolas Sarkozy lors de son voyage en Chine, en mai dernier, participera ce soir au dîner d’Etat donné en l’honneur du Président chinois.

Cette visite officielle du président Hu JINTAO est importante...

Importante politiquement parce qu’elle contribue à conforter les relations entre la France et la Chine. Après le déplacement de Nicolas SARKOZY à Shanghaï, en Mai dernier, la présence du leader chinois, à Paris, jusqu’à samedi, confirme que l’amitié franco-chinoise est au beau fixe.

Importante économiquement parce qu’elle devrait permettre de finaliser des accords d’envergure au bénéfice des entreprises françaises, de notre emploi et de notre économie.

Importante écologiquement parce que le développement de la Chine, puissance économique mondiale grandissante, doit s’accompagner d’une limitation impérative de l’impact écologique qu’elle génère. Les Chinois y sont prêts à condition qu’on les aide à trouver les solutions.

Ainsi, le groupe français TOTAL devrait passer un accord avec la Chine afin de lui apporter notre savoir-faire en matière de technologies dites du « charbon propre » qui permet d’extraire et d’exploiter cette ressource minière (dont la Chine tire ¾ de son énergie) en limitant considérablement l’impact sur l’environnement.

Par ailleurs, l’entreprise française AREVA, reconnue mondialement pour sa maitrise du nucléaire, devrait, elle-aussi, passer plusieurs contrats avec les entreprises électriques chinoises.

Réunion de travail avec le Pôle Reconquête de l'UMP-Paris

Catherine DUMAS a reçu, ce soir, au Sénat, les élus des 12 arrondissements où la droite est minoritaire à Paris.

Rassemblés sous l'appellation "Pôle Reconquête", ces Conseillers de Paris et Conseillers d'arrondissement ont la tache difficile de défendre les idées de la droite et du centre avec les moyens très limités des élus d'opposition.

En effet, ils doivent tenter d'exister "politiquement" malgré une communication massive du Maire de Paris et des administrations locales municipales placées sous l'autorité de maires de gauche, socialistes ou vert.

Aussi, Catherine DUMAS avait proposé à Anne-Constance ONGHENA, Conseillère de Paris du 19e arrondissement en charge de l'animation de ce groupe de travail, de recevoir les élus du centre et de l'est parisien, au Sénat, afin de les aider dans leur travail politique quotidien.

Dans une ambiance amicale, conviviale mais toujours studieuse, les responsables politiques de l'UMP ont ainsi préparé, pendant 3 heures, leurs prochains conseils d'arrondissements.

A l'ordre du jour : Rien de moins que l'arrêt du programme local de l'habitat à Paris, la charte des arrondissements, le réaménagement des Halles et l'extension du tramway T3,...

Catherine DUMAS a également rappelé aux nombreux élus présents qu'en sa qualité de parlementaire de l'ensemble des arrondissements parisiens (la circonscription du Sénat à Paris c'est l'ensemble du département 75), elle restait à leur entière disposition pour relayer, notamment auprès de l'administration et des ministères, les problématiques du Pôle Reconquête.

Les élus sont ainsi repartis ravis et revigorés par le soutien et les encouragements de Catherine DUMAS.

Catherine DUMAS présidente du jury parlementaire du Festival International de la Photo Culinaire

Après « Poissons, coquillages et crustacés », thème de sa première édition - qui avait connu un grand succès en novembre dernier - le Festival International de la Photographie Culinaire, placé sous les hauts patronages du ministère de l’Alimentation, de l’Agriculture et de la Pêche et du ministère de la Culture et de la Communication, se met cette année au vert…

Le thème choisi pour l’édition 2010 est celui du végétal (fruits & légumes, céréales, herbes, fleurs, épices…), illustré par un clin d’oeil à la célèbre comptine du Moyen Age : " J'ai descendu dans mon jardin..."

Du 29 octobre au 14 novembre 2010 à Paris, des photographes professionnels internationaux présentent les clichés que ce thème leur aura inspirés. (Egalement visibles sur le site de l'exposition http://www.festivalphotoculinaire.com )

 

Exposées à l’Espace Mobalpa et sous les passages couverts de Bercy Village, ces photographies feront l’objet de la compétition officielle.

Le public est invité à visiter ces deux lieux afin de découvrir la démarche artistique des photographes festivaliers et pourra voter pour le photographe de son choix.

Parallèlement, en partenariat avec le Journal du Parlement, un jury de parlementaires, députés et sénateurs de tous bords politiques se sont réunis ce soir sous la présidence de Catherine DUMAS, présidente du Club parlementaire de la Table Française, et en présence du célèbre Grand-Chef, Alain PASSARD, parrain de l’édition 2010.

Après deux tours de scrutin, le lauréat 2010 a été désigné parmi 36 concurrents, mais son nom ne sera dévoilé que mardi prochain, lors d'une cérémonie en présence du Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Bruno LE MAIRE.

La TVA à 5,5% dans la restauration, c'est bon pour l'emploi !

Michel HOUEL, Sénateur de Seine et Marne, a remis ce matin au Ministre Hervé NOVELLI son rapport sur le "Bilan du taux réduit de TVA dans le secteur de la restauration".

Le groupe d'étude "artisanat et services" qu'il préside au Sénat s'est intéressé, pour la Commission des Affaires Economiques de la Huate Assemblée, à l'impact réel de la baisse de la TVA dans la restauration.

Constatant que le résultat provisoire restait encore perfectible, le rapporteur a toutefois relativisé les chiffres mitigés des premiers mois, et a relevé de réels effets positifs pour l'emploi (30 000 emplois créés entre octobre 2009 et juin 2010), les salires, l'activité de la filière et le prix final payé par le consommateur (objectif d'une baisse des prix de 2.5% atteint).

Le Sénateur HOUEL a donc préconisé au Ministre NOVELLI la prolongation de cette mesure pendant 3 à 5 ans, afin de pouvoir évaluer pleinement le bilan du dispositif. Une bonne nouvelle pour la profession et les consommateurs !

Adoption au Sénat de la Proposition de Loi DUMAS-LEGENDRE sur le prix du livre numérique

Cette proposition de loi déposée par Catherine DUMAS et Jacques LEGENDRE prévoit, pour faire face à l'émergence du livre numérique, l'obligation pour l'éditeur de fixer un prix de vente pour chaque offre commerciale se rapportant à un livre numérique, afin de ne pas léser les ayant droits du livre.

Le prix du livre sera donc soumis à une obligation de publicité et les personnes vendant des livres numériques tenues de respecter le prix fixé par l'éditeur, quel que soit le canal de vente utilisé.

Seuls les opérateurs commerciaux établis en France seront concernés par cet encadrement du prix du livre numérique.

Afin de ne pas léser les détaillants, l'éditeur rémunérera la qualité de leurs services selon des critères définis contractuellement entre les organisations représentatives des professions concernées.

Ce texte doit maintenant être transmis à l’Assemblée Nationale, pour y être discuté et, souhaitons-le, voté dans les meilleurs délais !

Le Sénat adopte définitivement le projet de loi de réforme des retraites.

La commission mixte paritaire (7 députés, 7 sénateurs), chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion, s'était réunie hier au Sénat.

Les parlementaires de la majorité sont parvenus à un accord qui reprend l’essentiel des amendements adoptés au Sénat, comme celui qui fixe à 2013 le lancement d’une réflexion nationale sur une réforme systémique des retraites françaises.

Il ne restait donc plus qu’une énième étape du processus législatif à respecter pour adopter la réforme des retraites.

C’est maintenant chose faite puisque cet après midi les sénateurs ont approuvé par un vote solennelle la version finale du projet de loi : 177 voix POUR et 151 voix CONTRE.

Le texte doit être soumis, demain, à l'Assemblée en vue de son adoption définitive.

Le PS a annoncé son intention de déposer un recours devant le Conseil constitutionnel, mais les autres groupes de l’opposition ne semblent pas vouloir suivre cette initiative.

L’image que donne la France sur la scène internationale...

Nous assistons à la naissance d’une opinion publique mondiale, dont l’influence sur les grandes décisions politiques est appelée à grandir dans les années qui viennent.

A l’heure de la communication instantanée et de l’information mondialisée, nous devons, plus que jamais, nous préoccuper de l’image que donne la France sur la scène internationale.

Franck MELLOUL, directeur de la stratégie, du développement et des affaires publiques de l’Audiovisuel extérieur de la France, vient, à ce propos, de rendre au Secrétaire général de l’UMP, Xavier BERTRAND, un rapport sur la mission qu’il lui avait confiée, relative au développement de notre influence sur la scène internationale.

Ce travail de réflexion et de prospective mené au sein du Mouvement Populaire, vient seconder au mieux l’action diplomatique du chef de l’Etat, et n’ignore pas la dimension internationale de nos choix politiques.

Nos responsabilités parlementaires nous amènent souvent à jouer un rôle important dans le domaine de la politique étrangère, de la politique culturelle et de la communication.

Aussi, ce travail et les recommandations avancées par Franck MELLOUL permettront d’éclairer notre réflexion.

Pour télécharger le rapport, cliquez ICI

Après 126 heures de discussions sur la réforme des retraites, le gouvernement demande le «vote unique» pour accélérer les débats au Sénat

Cette nuit, avant de passer à l'examen des articles additionnels, le Sénat a voté le 33e et dernier article du projet de loi de réforme visant à garantir l’équilibre économique et financier du système de retraites français.

Un amendement de la majorité sénatoriale prévoyant de "réfléchir" en 2013 à "une réforme systémique", autrement dit une retraite par points, a pu être adopté et permettra l’organisation d’une réflexion (souhaitée par certaines organisations syndicales comme la CFDT) sur "une plus grande équité" des régimes de retraites, sur "les conditions de mise en place d'une régime universel par points" et sur "les moyens de faciliter le libre choix du moment et des conditions de leur cessation d'activité".

A la reprise de la séance, ce jeudi après-midi, après 13 jours de débats et plus de 126 heures de discussions, il restait encore 254 amendements à examiner au Sénat…

Aussi, par la voix du Ministre Eric Woerth, le gouvernement a demandé le recours à la procédure de "vote bloqué" sur le reste des articles additionnels, afin d’accélérer les débats.

En effet, cette procédure, prévue par l'article 44 alinéa 3, permet de demander aux parlementaires de se prononcer par un vote unique sur le texte et les amendements acceptés par le gouvernement.

Les "échanges ont été nourris, l'expression a été pleine, libre" et "il n'est pas justifié de rajouter 50 heures de débat", a indiqué le ministre du Travail en présentant la décision du gouvernement

Un vote du Sénat, avant le week-end, est donc désormais envisageable.

Les groupes de l’opposition parlementaire au Sénat ont protesté tandis que les présidents des groupes de la majorité se sont, au contraire, félicités de cette mesure qui pour Gérard Longuet (UMP) "restitue au débat démocratique le respect des règles, sa dignité et sa clarté" et pour Nicolas About (Union centriste) "répond à la nécessaire protection des intérêts supérieurs de notre pays".

"Dans la situation actuelle de notre pays, il serait irresponsable de prolonger indéfiniment ce débat, alors que les sénateurs ont adopté la totalité des articles du projet de loi", a renchéri Henri de Raincourt, le ministre chargé des Relations avec le Parlement.

Jeudi 28 octobre, au plus tard, le projet de loi issu de la Commission Mixte Paritaire qui se réunira en début de semaine prochaine, pourrait être définitivement adopté par les deux assemblées.

La proposition de Loi DUMAS-LEGENDRE relative au prix du livre numérique adoptée, en Commission, ce matin

Les sénateurs Catherine DUMAS et Jacques LEGENDRE ont déposé au Sénat, le 8 septembre dernier, une proposition de loi destinée à réguler le prix du livre numérique.

Ce texte propose, « dans l'attente d'une régulation normative, un mode de fixation du prix par les titulaires de droit ».

Il prend acte que « La révolution numérique concerne désormais pleinement le secteur du livre » et établit une comparaison entre le monde du livre et celui de la musique, où l'absence de législation a conduit le marché à être accaparé par « des opérateurs extérieurs à l'économie de la création et dont l'objectif était la commercialisation d'autres produits ou services ».

Cette proposition de loi a été présentée, rapportée par la sénatrice Colette MELOT, et votée par la Commission de la Culture, de l’Education et de la Communication, ce matin.

Prenant en compte l'avis de l'Autorité de la concurrence, tout en posant les bases d'une réflexion distincte du texte de 1981 (Loi LANG sur le prix unique du livre) «la présente proposition de loi tend à fixer un cadre souple de régulation du prix du livre numérique, à mi-chemin entre l'organisation du marché par le contrat et l'encadrement trop strict d'un marché naissant ».

Entreront sous le coup de cette nouvelle législation qui « pose l'obligation pour l'éditeur de fixer un prix de vente pour chaque offre commerciale se rapportant à un livre numérique », les livres « publiés sous format numérique présentant un contenu intellectuel et répondant à un principe de réversibilité (c'est-à-dire déjà imprimés ou imprimables sans perte significative d'information) ».

Seuls les éditeurs basés en France seront concernés.

Cette proposition sera examinée, en séance plénière du Sénat, le mardi 26 Octobre.

Pour télécharger la Proposition de Loi N°695 (au format PdF) Cliquez ICI.